Premier pas vers mon envol

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il y a 7 ans

Premier pas vers mon envol

Voici un morceau de moi que je partage avec vous. Je partage cela en toute simplicité, pour ce qui est de l'orthographe oupsss ce n'est pas mon point fort malgré mes efforts. Dans la vie il y a des moments où l’on souhaite voler de ces propres ailes. Depuis mes premiers pas dans le BDSM j’ai toujours été accompagnée ou suivi de très près par ceux qui m’ont fait découvrir cela. Mais là de nouveau, le besoin de prendre mon envol par moi-même mais surtout pour moi-même se fait chaque jours plus présent.

Je suis soumise je ne dirais pas dans l’âme mais cela fait partie de moi, je n’aime pas prendre de décisions, j’aime que cela me soit imposé avec douceur. Comme à un e n f a n t que l’on guide il me faut ce suivi, je ne parle pas d’avoir un « guide » ou « mentor » car cela peut venir d’un inconnu ou d’amis, j’aime ce lâcher prise, ce laisser aller, pouvoir avancer les yeux fermés en sachant que je ne vais pas tomber.

Je me suis rendu à un week-end BDSM chez un Très Sympathique Monsieur (TSM) et sa douce, avec la peur au ventre, la peur de l’inconnu, la peur du nouveau, la peur d’aimer ce que j’allais vivre, voir. Pourtant ce n’est pas ma première sortie auprès de personnes pratiquantes mais me rendre seule chez des inconnus, avec des inconnus est une chose très difficile pour moi. Je connaissais un couple sur place, mais je ne les ai rencontré qu’une fois en réel, le reste de nos échanges étant principalement virtuel. Zut je n’ai qu’une vie alors oui j’ai pris le risque. J’avais peur d’être mise à l’écart car « nouvelle » dans ce groupe dont la majorité des personnes se connaissent, être jugée à cause de mes nombreuses réticences, de mes nombreuses craintes, de ma novicité.Je suis donc arrivée dans ce petit village. Là il était prévu que l’on me récupère à l’arrêt de bus ou je suis descendue. Un stress immense a commencé à germer, si personne ne venait, si je ne reconnais pas la personne qui viens me récupérer. Comment faire pour rentrer chez moi ? Plus de bus pour le retour, personne qui puisse dans l’immédiat venir. Mais finalement ils sont venus…Je suis arrivée après tout le monde, donc impossible de me fondre dans le décor comme je voulais le faire, mince alors !!!

Mes premières impressions, étaient un mélange de peur et de bien être. J’étais « à la maison » pas chez moi évidement mais j’étais exactement là où j’aurais dû être. Là où je voulais être. Après une petite présentation des personnes présentes la peur a laissé place à l’envie, l’envie de connaitre toutes ces personnes.Le Très Sadique Maitre des lieux a su trouver les bons mots pour que je me laisse aller durant la soirée, j’en ai pris plein les yeux rien a voir avec les soirées BDSM en club ou les choses sont plus protocolaires. J’ai ressenti une douceur infinie, un respect indescriptible.

N’ayant pas toujours eu la chance de faire les bonnes rencontres cela ma toucher, ma marquer.C’est dans ces rares moments ou l’on comprend l’expression « être sur un nuage », je n’irais pas jusqu’à dire que j’ai aimé tout ce que j’ai vu ce serais mentir, il est difficile pour moi de voir les « coups » porter a autrui bien que ceux-ci soient donner et reçu de façon consensuel.Voir des jeux d’aiguilles est une chose quasiment impossible pour moi, un mal être surgit et je suis au bord du malaise. Mais lorsque l’on ma proposé de me faire essayer j’ai d’abord voulu dire non, mais du haut de mon petit nuage j’ai voulu essayer, après tout si je n’aime pas, si je ne supporte pas il suffit de le dire et le jeu s’arrête.

Après une grande bouffé d’oxygène je suis prête assise à cheval sur une chaise le Tout Seul Master aiguille à mis la première, waouh je n’ai rien senti, juste ces doigts sur ma peau, aller une autre, puis six aiguilles plus tard, je ressors de la avec un joli mini-corset. L’hygiène était irréprochable sans quoi je n’aurais pas surmonter ma crainte, j’avais l’impression d’être seule malgré les personnes autour. Je n’ai pas osé bouger de suite de peur de faire bouger les aiguilles et qu’elles s’enfonce en moi, de peur de finir le dos en s a n g. Mais fièrement j’ai montré l’œuvre d’art sur mon dos. Fière d’avoir vaincu ma peur, je ne sais pas quand je serais à nouveau prête à recommencer mais une chose est sûre je souhaite le faire encore.

J’ai aussi vécu d’autres premières fois, mes fesses ont déjà était marquer suite a des séances intense ou moins intenses. Des fessées j’aime ça, la douleur je supporte à un certain degré. Mais me faire fesser sur les genoux comme une petite fille quel plaisir, un mélange d’excitation et d’humiliation soft, je me demande pourquoi je n’ai pas vécu cela avant. Pourquoi je n’ai jamais eu l’idée d’être ainsi fessée.

Puis ce moment de douceur ou le Dominant met de la crème sur le fessier meurtri de la soumise en devenir, comme un prolongement de la fessée. A un autre moment dans la soirée j’ai également eu le plaisir de subir de douces caresses, les yeux fermés allongée sur une cage j’ai senti les mains sur moi, des mains douces je n’ai pas voulu regarder pour mieux pouvoir le vivre. J’aurais pu subir une douce t o r t u r e plus longtemps par gourmandise, puis j’ai senti ce stimulateur de clitoris prendre possession de mon corps.

Malgré le plaisir immense je n’ai pas vraiment joui le stresse de tant de nouveauté étant trop présent en moi mais le but pour moi n’était ni de jouir ni d’avoir du sexe mais de profiter des moments donnés.Mais suite à ça je me rends compte que tous les Doms sadiques ou non sont et doivent aussi être respectueux, que pour beaucoup la douceur fait également parti du don d’eux envers la soumise qu’ils ont entre les mains. J’ai rarement connu ce mélange des deux. Il y a tellement de choses a dire sur ce week-end, ma 2nd initiation au fouet (merci a vous Monsieur si vous vous reconnaissez) où j’étais au bord de l’explosion, mes jambes avaient du mal à me supporter tellement mon esprit était la bas, une part de moi était avec chacune des personnes présente, celui qui me fouetter, celui qui me tenais et jouer avec mes tétons mais aussi cette douce fleur qui a l’aide d’un sextoy m'a transportée sur la planète plaisir.

Tous ces moment partager qui à défaut de les livrer à l’écrit sont gravés dans mon esprit, dans mon ame. Un seul conseil, oser, si vous vous sentez en confiance, en sécurité oser essayer. Je ne suis pas partie entièrement à l’inconnu, car mes « Mentors » même si ils n’étaient pas présents savaient ou j’étais. Il faut prendre des risques (calculé) la vie est trop courte pour avoir des regrets.

Merci encore à Vous Monsieur, à Vous Messieurs, Mesdames pour tous ces moments

milena

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